Icône de la pop mondiale dans les années 2000, Britney Spears avait peu à peu diminué ses apparitions médiatiques. Mais maintenant qu'elle est enfin libérée de sa mise sous tutelle, qui aura duré plus de 13 ans, l'heure est désormais venue pour la chanteuse de livrer sa vérité sur tous les événements qui ont marqué sa vie et alimenté les pages des journaux people. Britney s'apprête à publier son autobiographie, "The Woman In Me", qui sortira le 24 octobre, et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle y fait des révélations fracassantes.
C'est le média américain People qui a révélé les premiers extraits du livre à paraître. Britney Spears revient notamment sur le plus gros buzz de sa carrière, celui pour lequel la star a fait la une de tous les magazines : sa décision de se raser le crâne en 2007. "En grandissant, j'ai été tellement observée. On me regardait de haut en bas, les gens me disaient ce qu'ils pensaient de mon corps, depuis que j'étais adolescente", raconte-t-elle. "Se raser le crâne et se mettre en scène étaient mes seuls moyens de riposte".
Un an plus tard, alors que la tutelle mise en place par son père est sur le point de débuter, le contrôle sur la vie de Britney Spears commence : "On m'a fait comprendre que cette époque était désormais révolue. Je devais me laisser pousser les cheveux et retrouver la forme. Je devais me coucher tôt et prendre tous les médicaments qu'on me disait de prendre". Elle poursuit : "J'étais devenue un robot. J'avais été tellement infantilisée que je perdais des morceaux de moi-même. La mise sous tutelle m'a dépouillée de ma féminité et m'a transformée en enfant."
Un livre sans tabou où la chanteuse tient des propos forts sur cette longue et dure période de sa vie. Britney Spears revient également sur l’avortement qu’elle a vécu lors de sa relation avec Justin Timberlake entre 1999 et 2002. Un avortement qu'elle n'a pas voulu, même si elle y a été poussée par le chanteur, qui "ne voulait pas être père". Des confidences à découvrir le 24 octobre prochain, dans "The Woman In Me".