À l’origine de ce texte : l'ancien député niçois Philippe Pradal (Horizons). Concrètement, la loi autorise désormais les employeurs – comme les hôpitaux – ou les ordres professionnels à porter plainte, à condition d’avoir l’accord de la victime.
Autre volet majeur : le durcissement des sanctions. Les auteurs de violences peuvent désormais être condamnés jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende.