Ils dénoncent des chiffres officiels sous-estimant la population de loups et des autorisations de tir trop longues à obtenir. Selon eux, la pression prédatrice s’accentue alors que les attaques de troupeaux se multiplient.
Les syndicats agricoles reprochent à l’État de bloquer les prélèvements en cours d’année, aggravant la situation sur le terrain. Avec des procédures jugées inadaptées face à l’urgence, les professionnels redoutent une escalade du conflit. En 2023, près de 800 attaques ont été recensées dans le département. La tendance pour 2025 laisse craindre une nouvelle hausse.