La commune estime que le terrain retenu est inapproprié : pollution partielle par des matériaux amiantés et dépôts sauvages, parcelles agricoles voisines non consultées, accès routiers insuffisants et impossibilité de réaliser les aménagements nécessaires en si peu de temps.
Alertée moins de dix jours avant l’arrivée prévue, la mairie déplore une procédure précipitée qui pèserait lourdement sur les services municipaux, déjà mobilisés en pleine saison estivale.
Le maire, Joseph Segura, a saisi le tribunal administratif en référé-suspension pour faire valoir les droits de la commune et obtenir un réexamen du site. Le référé sera examiné aujourd'hui.