Trois personnes avaient été interpellées après des tensions avec des fidèles.
Les vidéos consultées par les enquêteurs montrent des invectives, parfois vives, mais pas d’intrusion ni de violences caractérisées dans le lieu de culte. En conséquence, les gardes à vue ont été levées et aucune poursuite immédiate n’a été engagée. Une enquête préliminaire se poursuit néanmoins pour établir s’il y a bien eu injures antisémites et pour identifier les organisateurs d’un rassemblement qualifié d’illicite.
Dans un autre dossier, sans lien direct avec ces faits, un rabbin a été insulté vendredi rue Andrioli. L’auteur présumé, un Suisse de 56 ans, a reconnu les propos mais conteste tout caractère antisémite. Il sera jugé en mars 2026 pour injures publiques à raison de la religion.
