Un mouvement de "mutinerie" lancé par les correspondants locaux de presse

Un mouvement de "mutinerie" lancé par les correspondants locaux de presse

Société

Les correspondants locaux de presse, pour Nice-Matin et Var-Matin notamment, expriment leur colère. Ce ne sont pas des journalistes salariés du groupe, mais des personnes qui travaillent au coup par coup, en fonction de l’actualité de leur village ou canton. Ils perçoivent seulement 4,76 euros de l’heure, disent-ils, et affirment que leur salaire n’a pas été revalorisé en 20 ans.

Certains ont lancé une "mutinerie", afin d'obtenir une revalorisation de leurs indemnités et défraiements. Seulement, plusieurs correspondants se sont vus aussitôt supprimer leurs accès aux outils de travail du journal. A notre micro, Marc Volpin, correspondant local de presse à La Crau, dans le Var.